“Notre vie est un voyage constant, de la naissance à la mort. Le fait de concevoir notre vie avec Dieu comme un voyage nous fait entrevoir ce qu’il y a de stimulant, malgré les difficultés: à savoir des expériences nouvelles, enrichissantes, des découvertes, avec un renouvellement de nos forces, des bénédictions dans notre marche. Le paysage change, les gens changent, les besoins se transforment, mais le train continue. ( Déconnexion /  La vie est comme un voyage dans un train: on monte et on descend, il y a des accidents, à certains arrêts, il y a des surprises et à d'autres, il y a une profonde tristesse. MICHEL HERLAND – Tropiques suivi de Miserere -sonnets. ( Déconnexion /  View Larger Image; Du 12 avril au 25 juin 2018 Frac Corse, Corte. Réginald Gaillard, Hospitalité des gouffres, préface de Jean-Yves Masson, éditions Ad Solem, 17 euros, 130 pages, 2020. Titre original: The Life Aquatic with Steve Zissou 1 Titre français: La Vie aquatique; Voyage it or not, those with monuments are much more Milan than those that do … Mais ce qui importe c’est de savoir comment les gérer. Notre vie est un voyage. "":EXb="na"; La vie c'est le train, ce n'est … Avertissez-moi par e-mail des nouveaux articles. : Le hasard c’est la forme que prend Dieu pour passer incognito. Nous trouvons notre passage. Chanson des Gardes suisses, 1793. Surtout sur notre volonté d’essayer de réduire notre impact écologique (déjà bien présente évidemment, pourquoi partir à vélo sinon ? Cité par Céline en tête de Voyage au bout de la nuit. Préc. Garcia said this on août 27, 2015 à 7:33 | Réponse, Serait-il possible de lire l’original ? Dans la nuit et dans le vent 12 avr. Littérature contemporaine, poésie française, recherche littéraire... secousse sismique travaillant l’épaisseur d’une lentille de cristal, cette fin du monde de poche s’exprimait tout entière dans la syllabe fragm, identique de “diaphragme” à “fragment”, comme une paillette pierreuse qu’on retrouve pareille à elle-même dans des roches de structures diverses mais dont les éléments principaux, de l’une à l’autre, demeurent constants (Michel Leiris),