Tu donnes vachement envie de lire le livre ! Mais à la fin, il s’avère que cette jeune femme est en fait une vampire (connasse). Dans le livre, Robert Neville n’a STRICTEMENT aucune notion de médecine (du moins au début), il est perdu et ne comprends pas trop ce qui se passe et pourquoi tout part en quéquette comme ça. Mais saviez vous que Je suis une légende est une adaptation d’un roman culte du même nom de Richard Matheson, publié en 1954? Robert Neville, 36 ans, semble être le seul survivant d’une étrange épidémie qui a frappé l’humanité. Il ne faut pas bien longtemps pour comprendre de quoi il retourne… Mais si Matheson reprend ici les codes classiques du vampire, il en réinvente le genre en l’orientant vers une fable d’anticipation. Diverses explications scientifiques et médicales tenant plus ou moins la route (mais ne nuisant pas à la crédibilité de l’ensemble) émaillent en effet les chapitres. Je suis une légende. L’analyse psychologique prime ici sur les scènes d’action/de combat (on ne coupe néanmoins pas à quelques courses poursuite musclées qui raviront les amateurs !) Je suis une légende. Mais à la fin, il s’avère que cette jeune femme est en fait une vampire (connasse). Signaler: AshySlashy. Voilà une agréable découverte. Mais comme j’avais été totalement séduis par les bandes annonces, j’avais fait quelques recherches sur le film et je m’étais vite rendu compte que le livre de Matheson était considéré comme un monument de la science fiction et qu’il était vivement recommandé à tous ses amateurs. Bien loin des créatures romantiques et sulfureuses d’une Anne Rice et encore moins d’une Stephenie Meyer, Matheson innove en faisant du vampire, un être scientifiquement explicable contrairement aux classiques du genre qui le cantonnent à un monde occulte et ténébreux « caché derrière le voile opaque de la légende et de la superstition« . L’auteur parvient à accrocher son lecteur en restituant avec justesse les sentiments qui animent son héros (dans le genre « hard-boiled » -dur à cuir- de roman noir) : peur, angoisse, détresse (arrosée de rasades de whisky jusqu’à en perdre conscience : « Il se mit à boire au goulot, à grandes lampées, plein de haine contre lui-même, subissant comme une punition la brûlure de l’alcool le long de sa gorge« ), colère, haine, folie et parfois rémission, moment d’accalmie (où il en arrive à rire par autodérision). On relève aussi au passage une réflexion sur les livres, symbole du savoir humain également présente dans « La route »: « Tous ces livres songea-t-il, en secouant la tête. Le film prend des libertés incroyables par rapport au livre, au point de modifier totalement la signification du titre “Je suis une légende”. LE COMMENTAIRE. Etait-ce la nature qui veillait à entretenir l’étincelle en lui, malgré ses écarts de conduite ?« ). Il va donc décider de sauver l’humanité en se sacrifiant pour la femme et l'enfant, qui sont des survivants avec qui il vit, d’où le titre “Je suis une légende”. Humeurs et autres curiosités littéraires... ©2006 - 2018 - Buzz-litteraire.com. Préparez vos kits d’assassin et entrez dans le monde d’Assassin Royal ! « Je suis une légende » a été adapté au cinéma à trois reprises : Un terrible virus contamine de nombreuses personnes comme sa famille , sa femme et ses fils , les contaminés deviennent très agressifs et assoiffés de sang et les obligent à se cacher de la lumière du jour. Bref, d’la merde. Alors que dans le livre, point du tout ! Politique et littérature font-elles vraiment bon ménage ? Je suis une légende (I Am Legend) est un film américain d'anticipation post-apocalyptique réalisé par Francis Lawrence, sorti le 14 décembre 2007. Enfin bref, on verra tout ce qui change par rapport au film un peu plus bas. Comparaison "je suis une légende" livre et film 18 Janvier 2008, 12:24pm | Publié par Rêve . */ FIN SPOILER. La mésaventure avec ce premier est d’ailleurs assez touchante. » C’est donc un roman plus complexe que ne le laisse supposer le film, et avec une morale plus ambigüe. +1 également pour la fin. Plus qu’une simple histoire d’horreur, Matheson cherche à sonder les sociétés humaines. Effectivement ils ont changé l’idée principale du livre! Une construction efficace sous forme de puzzle Y’a donc une totale inversion des rôles : les vampires deviennent les victimes et Neville devient la “légende” qui fait peur. Je suis une légende / Richard Matheson « C’est la majorité qui définit la norme, non les individus isolés. la c’est sur que c’est pas le film de l’année si il a 7 ans!! – Et dernièrement, et là y’a du gros SPOILER puisque je vais parler de la fin du livre. J'ai pas accroché plus que je ne pensais à Je suis une légende, même si j'ai aimé la réflexion qu'apporte ce livre. Comparaison "je suis une légende" livre et film 18 Janvier 2008, 12:24pm | Publié par Rêve. Elle … Ils auraient pu changer le titre et juste mettre qu’ils s’étaient inspiré du livre! Du reste, la violence ne t’est pas étrangère. Pourtant, chaque nuit de terrifiants phénomènes se produisent autour de son domicile protégé comme une forteresse. A son actif, une vision très crédible de ce que pourrait être le quotidien d'un homme qui pense être le dernier survivant d'une épidémie. En effet, si le pitch est le même, l'histoire est différente. +1 également pour la fin. Dans un sens, nous nous apparentons à des révolutionnaires, tenus de prendre le pouvoir par la violence. SPOILER : On remarque d’ailleurs qu’il en est plus proche que de la femme qui s’avère perverse et traitresse, on pourra donner les interprétations que l’on veut à cette image de la femme ici donnée… « Le dernier homme sur la terre se trouvait irrémédiablement seul à supporter ses fantasmes. BUZZ… littéraire : Critiques livres, romans et analyse, Rattrapage 2009 : jeunes talents littéraires de L.A à Las Vegas en passant par Lyon…, Flammarion lance un site spécial pour le nouveau roman de Nick Cave, Je suis une légende, Richard Matheson, célèbre auteur (et scénariste) américain de science fiction à l’origine journaliste, publiait en 1954 -en pleine guerre froide-, à l’âge de 28 ans, l’un de ses romans culte aux côtés de « L’homme qui rétrécit », adapté au cinéma à 3 reprises (voir ci-dessous*), bien avant « La route » de Cormac Mc Carthy, . Intellos-précaires : victimes consentantes ? – 1964 : Je suis une légende, film italien avec Vincent Price, titre original L’Ultimo Uomo Della Terra. Il pense que c’est une autre survivante donc ils vivent ensemble, et ils commencent même à tomber amoureux. Le site propose également aux lecteurs de nombreux récits de voyages sur les pas de ceux qui ont fait le mythe du vampire. Tout le monde connait le film avec Will Smith qui a fait un carton à sa sortie en 2007. Il ne m’en fallait pas plus pour me décider, j’ai donc acheter le livre AVANT que le film sorte. Voila la description qui est faite de Robert Neville dans le livre : “Agé de trente six ans, d’une taille élevée, Neville était un mélange d’ascendance anglaise et germanique. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Précurseur du genre « apocalyptique », Matheson préfigurait tout un pan de l’univers de la SF contemporaine (paysages urbains ravagés, épidémie meurtrière, humanité en déroute…). Bref, le film a eu tellement de succès qu’une suite avait été annoncée, sans nouvelles à ce jour. La structure narrative du roman est pour beaucoup dans l’intérêt que suscite le récit. Comme tout ceux qui ont lu ce livre je lu en une apres midi, sans pouvoir me stopper. Je suis une légende, Richard Matheson, célèbre auteur (et scénariste) américain de science fiction à l'origine journaliste, publiait en 1954 -en pleine guerre froide-, à l'âge de 28 ans, l'un de ses romans culte aux côtés de \"L'homme qui rétrécit\", adapté au cinéma à 3 reprises (voir ci-dessous*), bien avant \"La route\" de Cormac Mc Carthy, . Certain livre vous plaise, d'autre vous passionne, et il y en a qui vous captive." Ben oui, c’était plus facile d’expliquer le fait que le héros possède un labo ultra perfectionné dans sa p’tite cave comme ça. Si ce court récit peut faire sourire par certains rebondissements et explications pseudo-médicales, il n’en reste pas moins une histoire originale (au moins pour l’époque ! Je suis une légende en est une belle illustration. » Il réalisa alors que c’était lui le monstre !! Contribution le : 20/01/2014 11:10. Jusqu’au dernier chapitre, on ignore tout du dénouement qui évite l’écueil du happy end (rappelant d’ailleurs, dans un autre genre, le dénouement du Parfum et de la fin de Jean Baptiste Grenouille, totalement inattendue). Je dis "tiré du livre", mais je devrais dire "inspiré". Je suis donc allé voir Je suis une légende dès sa sortie, après avoir lu le livre du coup, plein d’espoirs, tellement il m’avait plu. L'adversaire d'Emmanuel Carrère, Crime et châtiment... « J’ai fait HEC et je m’en excuse » (F.Noiville), « On vous rappellera… » (S.Talneau), « Je suis morte et je n’ai rien appris » (S.Colleter) : radiographie de l’élite côté campus, Stupeur et tremblements d’Amélie Nothomb : De cadre sup’ à dame pipi, l’enfer des bureaux japonais vue par une jeune belge, « Bonjour paresse » de Corinne Maier : Travailler moins pour vivre plus, Extension du domaine de la lutte par Michel Houellebecq : Contes de de la frustration ordinaire, Do you like your job ? On constate d’ailleurs qu’au fur et à mesure qu’il comprend leur nature, il est comme apaisé comme si l’obscurantisme était finalement le pire des maux. Du coup j'ai abordé cette lecture avec le film en tête... Je pense que c'était une erreur tellement les deux sont différents. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail. Je vais essayer de vous énumérer la liste des différences, sans trop vous pourrir le livre pour ceux qui voudrait le lire. Le lecteur ne comprend pas immédiatement le contexte, Matheson va lui divulguer les pièces du puzzle au fur et à mesure, aiguisant ainsi sa curiosité. Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. Je suis une légende, Richard Matheson, Nathalie Serval, Gallimard. Dick à Franck Herbert jusqu’à nos jours…, La guerre contre les « couillidés » : de Virginie Despentes à Chloé Delaume et Véronique Ovaldé…, « Grand écrivain » au féminin : la bataille de la visibilité (1/2), Les affres de l’écriture et la figure de l’écrivain vues par le cinéma (et la TV)…, Blondes… MAIS écrivains : De Marilyn Monroe (« Fragments ») à Nelly Arcan (« A ciel ouvert »), « La violence culturelle est une violence sourde, probablement pire que toutes les autres », Le « cauchemar climatisé » du bureau vu par les trentenaires : « Bonjour paresse » de Corinne Maier, « Eloge du miséreux » Mabrouck Rachedi, « Morts de peur : la vie de bureau », « Travail, mode d’emploi »…, "Le couperet" de Donald Westlake : "Les PDG et les actionnaires sont l'ennemi mais ils ne sont pas le problème.". Ces résidus de l’intellect planétaires, raclures de cerveaux frivoles, pot-pourri d’artefacts incapables de sauver l’homme de l’anéantissement… ». Dans les deux cas, il s’agit d’un virus qui transforme les humains en créatures surnaturelles. Et encore moins la fin qui est surprenante à souhait. Il évoque aussi ses besoins affectifs à travers deux rencontres avec des vivants : un chien puis une femme. Et comme souvent, quand Hollywood décide d’adapter quelque chose sur grand écran, que ce soit un livre, un jeu vidéo ou n’importe quoi, l’amateur de l’oeuvre originale est déçu. Je suis une légende Richard MATHESON Titre original : I Am Legend, 1954 Première parution : New York,USA : Gold Medal Books, 1954 Traduction de Claude ELSEN Illustration de Jean-Yves KERVÉVAN DENOËL (Paris, France), coll. Lorsque j'ai découvert qu'en fait le film "Je suis une légende" avec Will Smith était tiré d'un livre, je me suis dis qu'il fallait que je le lise tellement j'avais adoré le film ! Il reviendra au cours du récit sur la genèse de cette situation. Le contexte politique de la guerre froide a remis au goût du jour ce style d’ouvrages – et il faut reconnaître à Matheson un indubitable talent. Ils sont intelligent, parlent, ont gardés leurs aspect humain, etc. Comparaison du livre et du film; je suis une légende ... Tout d’abord, il y a évidemment le thème de la fin de l’espèce humaine présent dans les deux œuvres. Ensuite, il y avait une tension militaire lors de la rédaction de ces récits. Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Il pense que c’est une autre survivante donc ils vivent ensemble, et ils commencent même à tomber amoureux. Précurseur du genre \"apocalyptique\", Matheson préfigurait tout un pan de lunivers de la SF contemporaine (paysages urbains ravagés, épidémie meurtrière, humanité en dérou… J’ai aussi eu du mal à voir les cheveux blonds et les yeux bleu de Will Smith. Il faut le lire pour apprécier tout ca, moi j’étais vraiment sur le cul. Là, ils craignent l’ail, ne sortent que la nuit, meurent avec un coup de pieu dans le cœur, tous les codes de la légende des vampires sont là. On ne le découvrira qu’au fil des chapitres au gré des tâches étranges qu’il effectue la journée : préparer des chapelets de gousses d’ail et de crucifix dont il entoure sa demeure, enlèvement des corps alentours, réparation d’un groupe électrogène apparemment vital pour lui… Ou encore des meurtres qu’ils perpétuent à l’aide de pieux…, Une nouvelle génération de vampires « scientifiquement prouvée » Parce que bien souvent, le livre est nettement mieux que le film. Attention Je suis une Légende reste, pour moi dans le haut du tableau, mérite d’être découvert, mais voilà par certains aspects il a un peu vieilli et surtout le format, même si sur certains points s’avèrent très efficaces, dessert aussi en partie certains autres aspects je … A découvrir donc, dans le même registre que Blade Runner, dont j’avais également fait une comparaison livre / film. kittymelo Le 15 Mars 2018 à 08:18 Intéressant sans pour autant que l'histoire soit dingue. Je suis une légende, classique de la science-fiction, avait déjà connu deux adaptations cinématographiques avant celle de Lawrence, l'une d'Ubaldo Ragona en 1964 avec Vincent Price, l'autre, baptisé Le Survivant, de Boris Sagal en 1971. Comme tout ceux qui ont lu ce livre je lu en une apres midi, sans pouvoir me stopper. Dans le livre, c’est des vrais vampires. Mais le pivot de sa réflexion (repris par Mc Carthy dans La route) repose sur le retour à la barbarie, au primitivisme qui guette tout effondrement de civilisation avant de reconstruire « une société nouvelle » : « Etait-ce là leur société nouvelle ? Livraison gratuite dès 25 € d'achats. Le passé n'est évoqué que par des images de rêve répétitif, en flash-back. Bon j’arrive des années après la bataille! Vu la brièveté (même si la taille d’un livre n’est pas forcément corrélée à la force de sa réflexion), difficile de s’attendre à une réflexion approfondie sur l’humanité. Toi aussi, tu as tué. Virginia Neville : femme de Robert Neville, elle meurt de la même maladie que sa fille, mais Neville refuse de l’incinérer. Et j’ai lu sur Wikipedia que le film se déroulait à New York parce que c’était plus “spectaculaire”. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Ce parti-pris nous donne un huis clos angoissant et qui permet à l'auditeur de s'identifier au héros. Parce que là quand on a lu le livre:GROSSE DECEPTION! Parce que sachez le, le film n’a presque rien a voir avec le livre. Je suis une légende (I Am Legend) est un roman de science-fiction de l'auteur américain Richard Matheson paru en 1954 et adapté en 1964, 1971 et 2007 au cinéma. On est plus dans la réflexion et le questionnement que dans la véritable action. Et c’est à partir de là qu’on commence à tout comprendre. J’avais également beaucoup apprécié le film avec Will Smithregrettant juste une fin un peu trop hollywoodienne. le film est de 2007 !! Le malheur du bas d'Inès Bayard : comment écrire le viol sans pathos (jeune auteur rentrée littéraire 2018), Les goûts littéraires de Brigitte Macron : sa passion pour Flaubert, Wattpad : l'usine à histoires au succès statistiquement programmé, Kamel Daoud sur l'écriture en français, langue de "la digression, la dissidence", Interview : l'éditrice de Delphine de Vigan explique son métier d'éditeur (Karina Hocine, éditions JC Lattès), Ecole bienveillante : apprendre à mettre des mots sur ses émotions pour enrayer la violence. Le livre se termine sur cette phrase, “Je suis une légende”. de Charles Guérin Surville : Stratégies de survie d’un VRP de Paris au Mans jusqu’à LA…, Le Diable s’habille en Prada de Lauren Weisberger : "A million girls would kill for this job ! » ; « Comme il est facile d’admettre l’invraisemblable avec un peu d’habitude.«  Les éditeurs publient les auteurs de Twitter et d'Instagram influents et relancent la poésie ! Le héros n’aura de cesse de vouloir faire la lumière sur leur existence et leur apparition. Neville est ensuite jugé sommairement par un tribunal vampire et condamné à mort. Alors ça fait peut être longtemps que les réalisateurs du film n’ont pas vu d’anglais et d’allemands, mais ils ne me semblent pas réputés pour leur teint basané. D’ailleurs, en ces temps de crise, de nouveau les oeuvres traitant de la fin du monde et de l’écroulement de la civilisation sont à la mode. Kathy Neville : fille de Robert, elle meurt d’une mystérieuse maladie au début de l’histoire et est incinérée. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées, Le manuscrit d'une autre victime de Matzneff censuré en 2004 (Francesca/Ivre du vin perdu), Camus contre Sartre à l'épreuve de la postérité et des ventes et Coronavirus. Je suis une légende, Richard Matheson Un livre apocalyptique qui se trouve être au final une réflexion sur la société elle-même. Qui veut ainsi sa peau et pourquoi ? « Le tout sans vampires aux yeux injectés de sang menaçant de chastes héroïnes endormies, sans chauves-souris voletant derrière les fenêtres d’un manoir, sans la moindre intervention surnaturelle. On suit douloureusement l'acharnement de Neville à survivre à la fin de la race humaine et à comprendre les raisons de son extinction. Enfin ça, c’est pas le plus grave. Mais là ils ont changé la BASE du livre: donc pourquoi avoir repris exactement le MEME titre que celui-ci!!! Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait. Sorti en 2007, Je suis une légende (I am legend) avait été un énorme succès pour Will Smith et le réalisateur Francis Lawrence. » (les bras armés de cette nouvelle société ressemble d’ailleurs fortement à la Gestapo). Je suis une légende est un film réalisé par Francis Lawrence avec Will Smith, Alice Braga. Je comprend bien évidemment qu'ils ont du l'adapter, mais c'est bon à savoir. Ses traits n’avaient rien de remarquable, excepté la bouche, allongée et volontaire, et des yeux d’un bleu vif (…)”. Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Ca se lit super facilement, on est vite plongé dans l’ambiance, bien plus oppressante et noir que celle du film. L’autre jour, je suis tombé sur une fin alternative du film Je suis une légende (I am legend en angliche). Je suis une légende (I am Legend) 1957 – 3 – PREMIERE PARTIE JANVIER 1976 ... Il jeta le marteau sur le divan du living-room, alluma une autre cigarette et but un coup. mettant en scène le vampire, dont Matheson, Richard. Autant je me suis ennuyée à la lecture du livre… Je suis une légende reste parmi mes livres adorés, donc forcément la version avec will smith m'a donné la nausée. The End of the Fucking Club – Mixtape Janvier 2018. Et surfe sur ce que l’on appelle aujourd’hui la bit’ litt (sans connotation péjorative). Interview Bénédicte Martin (« Quelqu’un quelque part est foutu ») : Interview d'Olivier Adam (2004), recueil de nouvelles "Passer l'hiver", Petite discussion entre écrivains : Quand Frédéric Beigbeder rencontre Nicolas Fargues…, Chuck Palahniuk, entre chaos et rédemption : Portrait et Entretien avec l’auteur de Fight Club, Interview Estelle Durand et Claire Duvivier fondatrices des éditions Asphalte. L'objectif de Vampirisme.com est de proposer aux internautes des chroniques sur les biens culturels (livres, films, jeux, spectacles, etc.) C’est avant tout son héros qui est le centre de l’intrigue, son expérience humaine hors norme : l’histoire d’un homme face au pire cauchemar qui soit : être le dernier homme sur terre après que la race humaine ait été décimée ou tout du moins transformée en créatures assoiffées de sang. pensa-t-il dans un éclair. Je suis une légende est un livre vraiment prenant car il raconte l’histoire peu commune de Robert Neville. », Robert Neville est un américain ordinaire. Par contre, dans le livre, Robert représente une vraie menace aux yeux des vampires. En ayant lu le livre on se rend compte qu’il y d’énormes différences avec le livre. Comme dans le film, Robert Neville trouve une femme dehors a peu près au milieu du livre. Servi par un style simple et fluide mais également précis et vivant, allant de l’image bien sentie « la colère se répandit en lui telle une traînée d’acide » au cliché le plus plat « le cœur de Neville battait si fort que sa poitrine semblait prête à éclater« , ce récit non dénué d’un certain humour (comme le « vampire musulman »), remplit parfaitement sa mission : celle de divertir tout en faisant (quelque peu) réfléchir. On a quand même du mal à croire qu’il en arrive à être capable de formuler des antibiotiques ou des vaccins après avoir seulement compulsé des bouquins à la bibliothèque mais passons…. Comme je l'ai dit je n'aurai pas dû lire ce livre en gardant en tête le film. « L’action du livre se situe à Los Angeles, précise Akiva Goldsman, mais en réalité, Los Angeles peut être vraiment vide à 3 h du matin. bonne performance de Will Smith, univers effrayant, on ressent bien la solitude du héros dans un New York à l'abandon bluffant de réalisme. ), j’suis pas là pour vous parler de ça. Pour moi, je suis une légende c'était surtout le film avec Will Smith sortit il y a quelques années, et qui était assez sympathique a voir mais qui manquait un peu de finalité. Dans Je suis une légende le livre, on sait vraiment tout ce qui se passe dans la tête du héros, Robert Neville, puisque c’est à travers sa vision que l’histoire est racontée. Et ils ont une peur bleue de Robert Neville, qui sort le jour pour les poignarder avec des pieux. ^Je le répète, si c’est pour faire un truc totalement différent(et même la fin), ils auraient dû ne pas prendre le même titre que le livre et juste dire que le film est inspiré de celui-ci! ), efficace, bien ficelée où les effets de suspense sont soigneusement ménagés, non dénuée d’une certaine émotion teintée d’une (très très) légère réflexion métaphysico-existentielle…, « Bientôt tu cesseras d’être un Robinson Crusoé prisonnier d’un ilot de nuit cerné par un océan de mort. Je suis une légende, Richard Matheson, célèbre auteur (et scénariste) américain de science fiction à l’origine journaliste, publiait en 1954 -en pleine guerre froide-, à l’âge de 28 ans, l’un de ses romans culte aux côtés de « L’homme qui rétrécit », adapté au cinéma à 3 reprises (voir ci-dessous*), bien avant « La route » de Cormac Mc Carthy, . Il nous plonge dans un monde apocalyptique et hostile où les tempêtes de poussière ravagent tout sur leur passage (« à un moment à mi chemin de la veille et du sommeil, il avait cru la maison prisonnière d’une ponceuse géante qui la comprimait et la faisait vibrer du sol au plafond entre ses disques monstrueux« . « La morale, après tout, avait sombré en même temps que la société. Super. Des milliers de livres avec la livraison chez vous en 1 jour ou en magasin avec -5% de réduction ou téléchargez la version eBook. Quelques indications physiques nous sont données (visages cendreux livides) mais il ne s’y attarde pas, préférant les comprendre de l’intérieur, cliniquement parlant. Je suis une légende est un roman d’une grande qualité littérature et il est devenu au fil des ans un grand classique du genre fantastique. Sans pour autant trop en faire. J'ai pas accroché plus que je ne pensais à Je suis une légende, même si j'ai aimé la réflexion qu'apporte ce livre. Merci pour cette critique tellement plus objective que tout ce que j’ai pu lire. J'avais bien aimé le jeune homme la mort et le temps, je ne sais pas si il y a eu une adaptation. Alors pour ceux qui se souviennent pas de la fin originale, cliquez ici et pour ceux qui projettent de voir le film prochainement, revenez plus tard Une réussite a tout point de vue ! Cristallisant les craintes de son époque (le clivage Est-Ouest et la peur du nucléaire, les armes bactériologiques et la perte de la foi), il trouve plus que jamais écho aujourd’hui, en cette ère de guerre contre le terrorisme et de dérèglement climatique. Je suis une légende (I am Legend) 1957 – 3 – PREMIERE PARTIE JANVIER 1976 – 4 – Lorsque le ciel – comme c ’était le cas ces jours-ci – était nuageux, Robert Neville ne se rendait pas toujours compte de l’approche du soir, et parfois auraient pu envahir les rues ils avant qu’il ne fût rentré chez lui. – 1971 : Le Survivant réalisé par Boris Segal, avec Charlton Heston et Anthony Zerbe, titre original The Omega Man. Je suis une légende et d'autres livres, articles d'art et de collection similaires disponibles sur AbeBooks.fr. De la domination des machines : Regard sur la science-fiction de P.K. Le film montre un homme en mouvement, ses actions dans l'espace, sa vie quotidienne lorsqu'il parle à son chien ou à des mannequins de magasin, en faisant ses courses virtuelles. Ni une, ni de… J’ai du le lire en 2 jours à tout casser. L’article que j’avais fait était plus véhément mais rejoint bien ta critique. En fait, les vampires ne sont pas des monstres assoiffé du sang du héros. Présence du futur n° 10 Dépôt légal : avril 1990 Roman, 194 pages, catégorie / prix : 2 Je suis une légende est un livre que l'on se doit de lire tant c'est un chef d'oeuvre de la science-fiction. » Comme dans le film, Robert Neville trouve une femme dehors a peu près au milieu du livre. La fin du livre quand a elle est tellement forte qu'elle donne beaucoup a réfléchir. Mais j’ai quand même kiffé “Je suis une légende” avec un Will Smith parfait dans le rôle principal … . A en faire dégueuler un chiotte. Si vous avez aimé le film, vous allez devenir fou en lisant le livre, je vous le garantis. *** Enfin, pour conclure, à mon grand désespoir de future bibliothécaire, encore cette phrase : Folio SF n° 53 Dépôt légal : avril 2001 Réédition Alors que la fin du livre est juste magnifique, surprenante et donne tout son sens au titre “Je suis une légende”. Merci à toi. Les articles présents sur ce site sont soumis au droit d’auteur (article L.122-4 du Code de la propriété intellectuelle). Tout sur Je suis une Légende - Edition Blu-Ray - Will Smith - Alice Braga, Blu-ray et toute l'actualité en Dvd et Blu-ray. Et comme souvent, quand Hollywood décide d’adapter quelque chose sur grand écran, que ce soit un livre, un jeu vidéo ou n’importe quoi, l’amateur de l’oeuvre originale est déçu. Bon, vous vous doutez que le film étant vieux de six ans (FFS comme ça passe vite! Je suis donc allé voir Je suis une légende dès sa sortie, après avoir lu le livre du coup, plein d’espoirs, tellement il m’avait plu. JE SUIS UNE LÉGENDE. (…) Pourquoi tant de sauvagerie ? Du coup, ça m’a redonné envie de le lire. Une étrange relation s’installe entre eux tout au long du livre. Comme vous, il croyait que les vampires ne hantaient que les mythes de l'Europe centrale et la hahahahahahahaha oui le film a été inspirer du livre mais le but c’était tellement pas qui le film et le livre se resemble . Je suis une légende " est de ceux la. Pourquoi Will Smith? Un peu plus tard, il se résolut à ... Il reprit son livre et essaya de recommencer à lire, épelant chaque mot avec peine. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées. Mais pas des vampires à la Twilight hein. Ecrit en 1950 il n'a pas prit une ride, ce qui n'est pas le cas de beaucoup livres plus ou moins récent. ". Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. “Mais ça m’énerve qu’ils aient repris le même titre que ce livre culte pour faire un truc bien différent et bien hollywoodien à la place (et qui est bien mais qui est loin d’être le film de l’année)!” A la fin du film, Will Smith va découvrir le vaccin contre le virus. Pour les autres : dans le film, on a le droit à une magnifique fin cucul à l’américaine. Ce qui devient plus gênant mesdames et messieurs c’est que dans le film, le héro est un grand médecin de l’armée Américaine qui sait parfaitement ce qu’il se passe, qui a un labo dans sa cave (qui n’en a pas un ? LiliGalipette 03 avril 2012: Signaler ce contenu Voir la page de la critique. On découvre qu’ils ont crée une nouvelle société, avec ses nouvelles lois, etc. » Il y a presque ici une dimension intimiste et d’introspection (rare en SF) certes assez simple mais pas ridicule. Vérifiez votre boîte de réception ou vos indésirables afin de confirmer votre abonnement. Et même, osons le terme, un chef-d'œuvre du genre, dont la lecture marque durablement. Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Passant de la survie à tout prix à l’abattement, il montre comment un homme lutte contre la tentation de la mort, la solitude et le fonctionnement de cet incroyable instinct de vie (« La vie était donc plus forte que les mots et la la volonté ? – Deuxièmement, le cadre spatio-temporel. » Mais ma volonté de me cantonner à la fantasy me l’a fait un peu oublier. Mais WTF? Aaah Je suis une légende ! Le film est pas mauvais en soit, mais BORDEL, il aurait été culte si il avait suivi le bouquin. L’histoire du film était simple et efficace : on y voyait le dernier homme en vie après une épidémie qui a décimé tout le monde, essayer de survivre dans un New York tout cassé. Mon Avis: Je Suis une Légende fait parti de ses livres que j’ai lu il y a bien des années durant mon adolescence et qui m’avait, à l’époque, marqué. Pourquoi Scott Pilgrim est il mon comic book préféré (de tous les temps) ? Voilà, “Je suis une légende” est un livre magnifique que tous les amateurs de science fiction, de zombies, de vampires, de survie, d’univers apocalyptique ou autres doivent lire.