« La restructuration est essentielle et elle arrivera », explique Barry Eichengreen, de l'université de Californie à Berkeley. Selon la journaliste Claire Guélaud « Les économistes, quelle que soit leur famille de pensée, s'accordent pour déplorer que les bailleurs de fonds d'Athènes minimisent la gravité de la récession grecque, plus longue et plus profonde que la Grande Dépression aux États-Unis dans les années 1930. Le référendum grec de 2015 est une initiative du gouvernement d'Aléxis Tsípras à la suite de l'échec des négociations avec la troïka dans le cadre de la crise de la dette publique grecque. ». Les députés du groupe Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe critiquent le référendum et demandent son annulation et, éventuellement, son remplacement par un nouveau organisé sur un nouveau programme de réformes fondamentales et approfondies[38]. Des députés de l'Europe des nations et des libertés se sont exprimés à propos du référendum. Il se tient le dimanche 5 juillet 2015 et porte sur l'acceptation de la proposition faite par l'UE, la BCE et le FMI le jeudi 25 juin 2015. Le gouvernement grec espère obtenir un nouveau plan d’aide de 86 milliards d’euros afin de pouvoir rembourser les prêts plus anciens de la troïka et éviter ainsi une faillite d’État. Selon Kevin O'Rourke (en) du Trinity College, toujours rapporté par El Pais, « si les créanciers étaient raisonnables sur les objectifs en matière fiscale et la restructuration de la dette, on ne parlerait plus de Grexit ; nous n'aurions pas perdu tout ce temps »[52] tandis que d'après Lorenzo Bini Smaghi, ex-conseiller à la BCE, un grexit « pourrait renforcer l'euro à moyen terme, mais la transition serait problématique et nécessiterait des mesures courageuses en matière d'intégration et surtout une BCE très active. Il demande que de nouvelles négociations soient engagées pour trois mois et que leurs résultats soient soumis à référendum[39]. Il ajoute que les promesses électorales de Tsípras ne pourront être tenues que grâce à l'aide de la zone euro[41]. Chute du gouvernement au Portugal : risque du scénario grec . Les dépenses publiques ont diminué de 20 % en Grèce en termes réels depuis 2007. Sa décontraction irrite ou Les deux partis de la coalition gouvernementale, SYRIZA (149 députés) et les Grecs indépendants (13) avec l'appui d'Aube dorée (17) ont voté la soumission du mémorandum au vote populaire lors de la session solennelle du parlement dans la nuit du 27 au 28 juin 2015[15], portant le résultat à 178 voix pour et 120 contre et 2 abstentions. Les dépenses publiques ont diminué de 20 % en Grèce en termes réels depuis 2007. de memorandus, -a, -um: «qui doit être rappelé»] Plusieurs éléments permettent de ne pas partager l’optimisme relatif exprimé par Romaric Godin dans son article du 15/05/2015 et de contester son analyse des «négociations» en cours entre le gouvernement grec et les instances de l’Union européenne et du Fonds Monétaire International. Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, déclare qu'« il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens  »[60],[61] (cette formule sera qualifiée de « théorème de Juncker » par Serge Halimi dans Le Monde diplomatique[62]). Selon le propos de la banque allemande Brenberg, rapporté par El País, « La Grèce est le pays qui a mené le plus de réformes pendant la crise[52] », le quotidien poursuit en affirmant que si le pays a besoin de réformes supplémentaires tous les économistes s'accordent à dire que les exigences de la troïka sur le déficit et leur non discussion de la restructuration de la dette est une erreur, alors que Tsípras a été élu sur un programme de fin de l'austérité et de restructuration de la dette[52]. Nous ne pouvons pas prétendre que la hausse nominale du surplus budgétaire est en soi du Une autre vague de réductions budgétaires aggravera les choses. Jean Arthuis, tout en précisant que la crise a pour conséquence « la non-gouvernance de la zone euro », indique que la solution est plus de fédéralisme en zone euro avec un réel gouvernement de la zone euro, un trésor, un budget commun[41],[40]. C'est d'ailleurs ce que pense le FMI. Ils soulignent qu'en vertu de l'article 103 de la Charte des Nations unies et de l'article 53 du traité de Vienne, aucun traité international relatif à un prêt ne peut prévaloir sur le respect, par toutes les parties, des droits de l'homme. Le nouveau ministre des Affaires étrangères, un transfuge du Parti communiste de Grèce, a notamment pris parti pour l'intervention russe en Crimée, alors qu'Aléxis Tsípras a qualifié les membres du gouvernement ukrainien de « néonazis ». […] Ce que l'on voit aujourd'hui, 16 ans après que l'eurozone a institutionnalisé les relations entre ses membres, est l'antithèse de la démocratie : de nombreux leaders européens veulent voir la fin du gouvernement de gauche mené par Aléxis Tsípras[48],[49],[50]. Dans la mesure où aucun des trois formateurs désignés par le chef de l'État n'est en mesure de constituer un nouveau cabinet, le Parlement est dissous et les électeurs appelés à le renouveler le 20 septembre suivant. Je trouve que c'est un abus de pouvoir public que de présenter des questions pareilles au référendum », « sort de son rôle purement monétaire et devient un acteur politique de l'affaire grecque. Si la droite au pouvoir parle de remplir les caisses de l'État, il s'agit surtout d'une remise en cause par le gouvernement grec d'accords bilatéraux en matière de fiscalité datant de 1965. « la négociation peut très facilement s'engager. Ses dernières propositions « semblent mieux conçues pour éviter un problème politique à Berlin ou Madrid que pour résoudre les difficultés de la Grèce », remarque, « la BCE pousse la Grèce à la porte de l'euro », « acceptant le risque de provoquer un effondrement complet bancaire », « il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens  », « car ils n’ont plus d’imprimerie pour le faire », Selon George Katrougalos, les créanciers, après avoir accepté les propositions grecques comme « une bonne base » de discussion, sont revenus sur leurs positions, en demandant en particulier la surpression de l'allocation destinée aux retraités les plus pauvres et de relâcher la pression sur les salaires les plus élevés tout en accentuant celles sur les plus bas (, Qui atteint à l'heure actuelle 180 % du PIB, ce qui n'est pas soutenable selon de nombreux économistes (, Réalisé après la mise en place du contrôle des capitaux (, Réalisé avant la mise en place du contrôle des capitaux, Tweet de Éva Kaïlí (organisation du référendum) -, Alliance progressiste des socialistes et démocrates au Parlement européen, Alliance des démocrates et des libéraux pour l'Europe, Europe de la liberté et de la démocratie directe, Compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur, Observatoire français des conjonctures économiques, L'invité des matins - Théodors Fortsakis - 30 juin 2015, Compte-rendu de séance du Parlement grec - 27 juin 2015, Grèce : le Conseil de l'Europe épingle le référendum, Griechenland, 5. Guy Verhofstadt, le président du groupe critique le référendum, organisé à la hâte, contre l'Europe et il ajoute que Tsípras devrait préparer un référendum visant à mettre fin au clientélisme en Grèce[39]. Victoire politique pour le gouvernement grec et son premier ministre, le « non » l'emporte avec 61,31 % des suffrages contre 38,69 % pour le « oui ». [06/02/2015 11:21:09] Athènes (AFP) Sa décontraction irrite ou séduit, ses formules font mouche auprès des médias, sans amadouer pour autant les grands argentiers européens : le ministre des Finances Yanis Varoufakis a focalisé, au fil d’une semaine itinérante, la curiosité pour le nouveau gouvernement grec. Les autres partis, allant de la droite à la gauche, ont voté contre la tenue du référendum et ont appelé à voter « oui » : Nouvelle Démocratie, La Rivière et le PASOK. Le Premier ministre espagnol Mariano Rajoy, qui appelle également à voter « oui », partage l'avis de Jean-Claude Juncker et considère que l'enjeu du référendum est le maintien dans la zone euro[23]. Le président de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), Xavier Ragot pense sensiblement la même chose « les positions du gouvernement Tsípras et des créanciers s'étaient beaucoup rapprochées. Le gouvernement Tsípras I (en grec moderne : Κυβέρνηση Αλέξη Τσίπρα Ιανουαρίου 2015) est le gouvernement de la République hellénique entre le 27 janvier et le 28 août 2015, sous la XVIe législature du Parlement. Panos Kammenos, membre du parti de droite populiste des Grecs indépendants, et allié de Syriza, est nommé ministre de la défense. Une enquête indique que ses électeurs voteront majoritairement « non » (voir sondages). En Espagne, pendant ce temps, elles sont restées stables. La… Επίσημος ενημερωτικός ιστότοπος για το έργο & τη δραστηριότητα της Κυβέρνησης της Ελληνικής Δημοκρατίας. Il est dirigé par l'écosocialiste Aléxis Tsípras, vainqueur à la majorité relative des élections législatives. Le député Fortsakis rejette également l'urgence du référendum : « de toute manière, un référendum prévu par la constitution nécessite un délai nécessaire pour que les gens prennent le temps de former leur décision objectivement et de manière indépendante. En Espagne, pendant ce temps, elles sont restées stables. Elle n'a pas été acceptée probablement parce que les créanciers veulent pouvoir conserver un certain degré d'ingérence dans la vie de la Grèce »[51]. Elle tente de maintenir la Grèce dans la zone euro en se débarrassant du gouvernement Tsípras », « Aucun économiste sérieux ne peut avaliser ce plan mal fichu et très déraisonnable », « demander à une économie en récession de 3 % à 4 % d'afficher un excédent primaire de 1 %, c'est la condamner à ne pas se redresser », « Les économistes, quelle que soit leur famille de pensée, s'accordent pour déplorer que les bailleurs de fonds d'Athènes minimisent la gravité de la récession grecque, plus longue et plus profonde que la Grande Dépression aux, « les politiques macroéconomiques doivent être contracycliques [...] Demander à un pays en récession d'afficher un excédent budgétaire primaire, même réduit de 3,5 % à 1 %, n'a pas de sens. « Nous pouvons continuer à faire semblant de croire que la Grèce va tout payer, mais c'est une erreur de continuer à nier la réalité et lui faire la morale, en pensant que la Grèce doit être punie », ajoute le libéral Paul De Grauwe de la London School. Dans un entretien à Libération du mardi 30 juin, le ministre de la Réforme administrative, George Katrougalos, a affirmé que les négociations ont été rompues à la suite d'un changement de position des créanciers notamment sur des questions d'équité sociale[N 1], changement destiné à gagner du temps dans les négociations à l'approche du défaut de liquidités, en forme d'« ultimatum » et tout en refusant une restructuration de la dette[N 2], alors que le gouvernement avait déjà accepté des concessions, c'est pourquoi le référendum s'imposait selon le ministre qui affirme en respecter le résultat quel qu'il soit, sans nécessairement que cela entraîne ni Grexit ni démission du gouvernement[3]. qui ont fait des efforts et par peur de fâcher les contribuables européens »[51]. Elle appelle à voter « oui » au référendum[37]. Séismes; Le risque sismique est élevé en Grèce. Il est formé à la suite des élections législatives du 25 janvier 2015. Le Parti communiste de Grèce n'a pas voté pour la tenue du référendum parce que selon lui, les réformes du cabinet Tsípras ne sont pas meilleures que les réformes de la Troïka. Deux experts indépendants des Nations unies, Alfred de Zayas et Virginia Dandan, respectivement expert de la promotion d'un ordre international démocratique et équitable et experte sur les droits de l'homme et sur la solidarité internationale, saluent le référendum. Elle n'a pas été acceptée probablement parce que les créanciers veulent pouvoir conserver un certain degré d'ingérence dans la vie de la Grèce », « La Grèce est le pays qui a mené le plus de réformes pendant la crise, « Nous pouvons continuer à faire semblant de croire que la Grèce va tout payer, mais c'est une erreur de continuer à nier la réalité et lui faire la morale, en pensant que la Grèce doit être punie », ajoute le libéral, « la zone euro semble prête à répéter de vieilles erreurs. Comment voulez-vous que l'économie puisse se redresser ? Le gouvernement comporte une … Ce dernier estime que la Grèce « risque un désastre »[27]. Alexis Tsípras annonce la démission de son gouvernement le 20 août 2015. Le gouvernement Tsípras se contraint à maintenir des mesures d’austérité en Grèce. La dernière modification de cette page a été faite le 10 janvier 2020 à 13:26. Le président du Parlement européen, Martin Schulz, estime que si le « oui » l'emporte, le Premier ministre grec devra démissionner ce qui entraînera la nomination d'un gouvernement de technocrates jusqu'aux élections suivantes. Mais ce qui a manqué, c'est la discussion et l'engagement d'une renégociation de la dette grecque qui est insoutenable et qu'il faudra restructurer », « les autorités grecques ont demandé que le Mécanisme européen de stabilité [MES] prenne la dette hellène à son compte, ce qui ouvrait la possibilité d'un reprofilage partiel de celle-ci. D'après le chef économiste de la Compagnie française d'assurance pour le commerce extérieur, Julien Marcilly, « les politiques macroéconomiques doivent être contracycliques [...] Demander à un pays en récession d'afficher un excédent budgétaire primaire, même réduit de 3,5 % à 1 %, n'a pas de sens. qui ont fait des efforts et par peur de fâcher les contribuables européens », « les positions du gouvernement Tsípras et des créanciers s'étaient beaucoup rapprochées. Le référendum grec de 2015 est une consultation populaire organisée le 5 juillet 2015 à l'initiative du Premier ministre Alexis Tsipras. La dernière modification de cette page a été faite le 6 octobre 2020 à 10:00. Dans l'intervalle, la présidente de la Cour de cassation Vassilikí Thánou-Christophílou met en place un gouvernement de transition. Dans un schéma de commerce classique, l'argent qu'ils récupèrent serait probablement prêté à nouveau à la Grèce. [mémorandum: mot lat., subst. Javier Nart considère que Tsípras agit dans son seul intérêt afin de pouvoir « mettre en œuvre son programme populiste »[40]. Le Conseil d'État est saisi[19]. Le Conseil de l'Europe a par la suite rappelé qu'il recommandait deux semaines de campagne, et qu'à défaut il ne pourrait envoyer d'observateurs. Comment voulez-vous que l'économie puisse se redresser ? Le Premier ministre appelle lui-même à voter contre. Theódoros Fortsákis (ND) a ainsi déclaré « Constitutionnellement il n'est pas permis d'organiser des référendums qui portent sur des questions de finance publique »[17]. C'est aux Grecs de répondre », « Constitutionnellement il n'est pas permis d'organiser des référendums qui portent sur des questions de finance publique », « de toute manière, un référendum prévu par la constitution nécessite un délai nécessaire pour que les gens prennent le temps de former leur décision objectivement et de manière indépendante. C'est important, car cela signifie que le gouvernement grec ne s'endette plus mais dégage des ressources susceptibles de permettre à terme de réduire sa dette. Si c'est le non, on rentre dans une forme d'inconnu. L'aspect financier de l'accord a pour objet de débloquer une aide financière à court-terme permettant à la Grèce de respecter des engagements et de stabiliser l'économie. Aucun dialogue ne peut être organisé en l'espace de cinq jours. On demande aux gens de s'exprimer sur un accord qui n'est pas signé donc on sait même pas qu'est ce que l'accord comporte. »[51]. La Grèce a obtenu guère mieux que des miettes, mais a payé un énorme prix pour préserver les systèmes bancaires de ces pays. 30 juin 2015, 14:53 En matière d'investissement, le plan d'aide prévoit de débloquer des fonds européens 35 milliards d'euros pour l'investissement. Monsieur le Président, Vous trouverez ci-joint la proposition complète du gouvernement grec. Le gouvernement d’Alexis Tsipras se prépare au défaut de paiement sur sa dette publique, annonce l’économiste grec Athanase Contargyris. María Spyráki, député européenne grecque (Nouvelle Démocratie), appelle à voter « oui » au référendum afin de permettre « le financement des salaires, des retraites et des subventions agricoles dans un environnement stable »[28],[29]. Mardi 30 juin, les négociations entre les parties semblaient continuer, « la porte restait ouverte » pour Angela Merkel et la question de la restructuration de la dette était sur la table[4], tandis que le pays se trouve en défaut de paiement du FMI[5] et sous contrôle de capitaux[6]. Enfin, le président du parti populaire européen, Joseph Daul, estime que le comportement de Tsípras est irresponsable[31]. Certains chefs de gouvernement d'États non membres de la zone euro se sont aussi exprimés. Je trouve que c'est un abus de pouvoir public que de présenter des questions pareilles au référendum »[17]. Le « Non » l'emporte avec plus de 61 % des suffrages exprimés, mais Tsípras doit accepter le 13 juillet un nouvel accord, sensiblement identique à celui repoussé par les électeurs hellènes[6],[7]. ». Thorbjørn Jagland, secrétaire général du Conseil de l'Europe, a critiqué l'écart entre la décision de tenir un référendum et la tenue du scrutin qu'il juge trop court par rapport aux recommandations de la Commission de Venise. Ces fonds seraient complétés par le plan d'investissement de la Commission européenne pour l'Europe qui vise à fournir une aide aux investisseurs publics et privés et à promouvoir des projets de haute-qualité. Le Premier ministre grec, Aléxis Tsípras, le 13 mars 2015 à Athènes. De même, dans un souci de transparence et afin d'informer le peuple grec, la Commission européenne a publié le 28 juin les derniers projets issus des négociations. Mais ce positionnement est, selon Theocharis Grigoriadis, professeur assistant d’économie à l’université libre de Berlin, avant tout un effet rhétorique et stratégique destiné à faciliter la renégociation de la dette grecque, notamment en montrant à l'Europe que la Grèce pourrait peser sur d’autres sujets[2],[3]. neutre sing. La question posée est de savoir si les Grecs acceptent ou non le plan prévu par les créanciers de la Grèce (UE, BCE, FMI) après l'échec de cinq mois de négociations entre le gouvernement grec et ceux-là. Le but de cette chronologie est de passer en revue les grands moments de l'année 2015. Cependant les militants font la campagne du « non »[16]. Dernière modification le 10 janvier 2020, à 13:26, élections législatives du 25 janvier 2015, référendum sur l'accord passé avec les créanciers, Ministre de l’Intérieur et des Réformes administratives, Ministre de la Justice, de la Transparence et des Droits de l'homme, Ministre du Travail et de la Solidarité sociale, Ministre de la Santé et de la Sécurité sociale, Élections législatives grecques de janvier 2015, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Gouvernement_Tsípras_I&oldid=166228043, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence, Ministre de l’Économie, des Infrastructures, de la Marine et du Tourisme, Ministre de la Culture, de l’Éducation et des Religions, Ministre du Redressement productif, de l'Environnement et de l'Énergie, Ministre d’État à la Lutte contre la corruption, Ministre d’État à la Coordination gouvernementale. Ils rappellent que l'expert indépendant des Nations unies sur la dette extérieure et les droits de l'homme avait, déjà en 2013, critiqué l'impact des politiques du Fonds monétaire international, de la Commission européenne et de la Banque centrale européenne sur les droits économiques et sociaux des Grecs[47]. Ce sont les réformes et projets législatifs que le gouvernement grec va entreprendre et mettre en œuvre avant la fin de l’extension de l’accord cadre d’assistance financière du 20 février 2015. Il faut donc qu'il y ait un dialogue public préalable. L'aile gauche de SYRIZA refusant les termes de cet accord, le chef de l'exécutif risque de se trouver en minorité. En outre, la question qui est posée au référendum est une question complètement imprécise. modifier - modifier le code - voir Wikidata (aide). Le 3 juillet 2015, celui-ci autorise sa tenue[20]. Risques naturels. Si c'est le non, on rentre dans une forme d'inconnu.